Après un petit déjeuner des plus copieux, nous nous dirigeons vers l'entrée du Parc. La pluie n'arrive pas à infléchir notre enthousiasme. 9h50, on nous remet les pass pour 3 jours de fête :les entrées, les réservations pour nos ateliers supplémentaires ( Visite de la régie Imax 3D des Astromouches / Les yeux grands fermés) et nos tickets repas.
Notre guide d'un jour nous rejoint.
Comme le veut la chanson, elle avait un joli nom notre guide... Mais lequel ? Vous l'aurez compris, voici l'occasion d'un nouveau concours !!! Un cadeau Futuroscope pour le premier gagnant.
Pas question en tout cas de commencer notre exploration du Parc européen de l'Image, par les bons fauteuils d'une salle Imax qui conduirait inévitablement (après une nuit sans Kim Wilde et sans sommeil) à voir bon nombre des jeunes dormir devant un écran de 700 m2.
Aux grands maux, les grands remèdes...Ce sera la Vienne dynamique qui assurera le réveil matin.
Le spectacle commence dans la pré-salle avec un défi technologique de toute beauté.
En 2010, le mur d'image composé de centaines de téléviseurs a été remplacé par un mur d'eau capable grâce à un réseau d'électrovannes de reproduire des formes et des mots. Ces derniers s'incrustent avec une précision diabolique dans un film kaléidoscope sur la Vienne. Le résultat est impressionnant :
L'accès à la deuxième salle réserve également son lot de surprises :
Le film est projeté en 70 mm vertical, sur un écran géant de 315 m². nous nous installons par groupe de deux sur des plateformes à vérins hydrauliques, de type hexapode. Les mouvements des sièges sont synchronisés avec le film.
De plus, depuis février 2007, de nouveaux dispositifs se sont ajoutés aux plateformes : quelques équipements comme des jets d'eau à haute pression, ventilateurs, diffuseurs d'odeurs augmentent l'immersion sensorielle dans l'action du film. La bande sonore du film s'est elle aussi améliorée avec une spatialisation du son.
Cris et éclats de rire sont bien au rendez-vous de cette équipée sauvage à travers la Vienne. Deux petites déceptions pour la séance de 2011 : pas de photo au freinage de la F3000 derrière la 2CV ("Et ça monte à combien ces petits engins là ?") ni de postillons du Guerliguet à chaque éternuement. Enquête menée, heureusement pour la survie du groupe. Il est en effet procédé chaque matin des analyses de l'eau contenue dans le circuit et une méchante bactérie avait été détectée. L'année prochaine je prend mon kit H1N1 !!!
A suivre...